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La chambre de Babylove - 2 ans

29 juin 2019
- 5 minutes de lecture -


Après 2 ans d'installation dans notre maison, peu de pièces sont réellement terminées. La première pièce, de notre logement, que vous avez pu découvrir, fut notre cuisine et, voici à ce jour, la présentation de cette seconde pièce, la seule chambre qui a toujours été décorée complètement depuis notre emménagement. Il faut dire que cette chambre était la seule pièce qui m'a vraiment inspiré, depuis notre arrivée : la chambre de notre enfant.

Dans notre ancienne habitation, vous avez pu découvrir un morceau de chambre qui lui était dédié. Un morceau, je précise, car sa demi-chambre était dans le bureau-dressing. Après l'achat de notre maison, j'ai de suite été inspirée, pour lui préparer une vraie chambre, sa chambre, rien qu'à lui. Et j'étais fière de lui proposer, enfin, son endroit.

Commençons la visite.


Lorsque nous entrons dans sa chambre, nous avons à notre gauche, sa bibliothèque-coin lecture avec 3 étagères Ikea et un matelas posé au sol. J'ai placé sa gigantestque girafe (elle est plus grande que lui haha) devant les étagères, pour éviter qu'il se cogne, au niveau des coins des étagères. Il adore lui faire des câlins. A la girafe, bien sûr, pas aux étagères ;-)
Sur son petit matelas, où nous nous installons le soir pour lire des histoires avant de s'endormir, j'ai placé, en guise de dossiers, 3 petits coussins. Le coussin nuage vient de chez Ikea (il est assez ancien), le coussin bleu est vintage et celui avec les poissons est une création de ma marraine, La Clo...
Le petit lapin-câlin vient de chez Gifi : il est lumineux et change de couleur accompagné d'une douce musique.


A côté, nous avons placé un meuble à 3 cases ouvertes Mixxit et 4 pieds Diall, de chez Castorama. J'ai posé dessus l'arc-en-ciel Grimm's. Il peut alors tout aussi bien jouer sur le dessus du meuble, qu'au sol.
NB : le reste de ses jouets se trouvent au salon, en attendant de réaménager sa chambre, car il ne joue pas tout à fait seul, dans sa chambre.



En face de son espace jeux-lecture, nous avons une petite armoire à étage pour stocker des affaires, mais un grand tri va s'imposer d'ici peu, car elle n'est pas exploitée comme bon me semble.
La commode Malm, de son ancienne chambre, a été placée à côté, pour ranger ses produits de soins, ses serviettes de toilette et ses draps, des affaires de stockage et des peluches. En grandissant, cette commode est devenue de trop, à mon sens et étant donné que la chambre va évoluer, pour laisser plus de place à un espace de jeu, je la déplacerai ailleurs. A suivre...


La table à langer Ikea est venue se rajouter au mobilier de sa chambre, mais à ce jour, j'aimerai la transformer en dressing et support de jeu. L'idée reste à creuser, mais j'aimerai changer la façon de le langer, avec un matelas posé au sol, puis rangé, le reste du temps. Mon idée serai de faire évoluer sa chambre pour favoriser son autonomie et passer à un univers d'enfant, en ôtant le coin à langer, de "petit bébé".
J'ai enlevé un bon nombre de livres présents dans ce meuble, ce qui explique les cases vides. J'aimerai y placer de nouveaux jeux, car ses jouets actuels ne lui correspondent plus. Evidemment, à suivre...


Côté sommeil, nous avons encore conservé le même lit Chillswood avec les barreaux, mais il est vrai que j'aimerai essayer un lit au sol. Notre fils aime prendre la main du grand ours pour s'endormir et faire des câlins au petit lapin. La petite grenouille le rejoint pour dormir, de temps à autre. J'ai replacé sa petite patère nuage, pour qu'il puisse prendre son pyjama. 



La visite étant terminée, j'espère avoir pu vous donner de l'inspiration, pour vos enfants.

Lire aussi :

J'ai été licenciée enceinte, injustice !

22 juin 2019
- 5 minutes de lecture -


Voilà ce qui me pousse à écrire cet article : ma copine Sarah du blog Soulier Vert vient de vivre la même chose que moi. Et je tape du point sur la table pour dire que cela suffit !

Protection contre le licenciement
Il est interdit de licencier une femme enceinte. Pire même, interdit de licencier une femme enceinte qui vient de l'annoncer à son employeur !
Nous sommes vulnérables pendant cette période et créer du stress à une femme enceinte venant de son employeur est juste honteux.
De plus, la loi protège les femmes enceintes contre le licenciement jusqu'à la fin du congé maternité.
Même si nous ne l'avons pas annoncé, si l'employeur nous licencie, nous pouvons faire annuler le licenciement en présentant une lettre justifiant du début de grossesse par la gynécologue ou la sage-femme.
J'ai la sensation que cela arrive à beaucoup plus de femmes que je l'imagine.
Alors, sachez-le et faites attention.

L'abus des employeurs
Pendant la grossesse, la femme peut être étourdie, créant ainsi des erreurs d'inattention. J'ai l'impression que les employeurs usent et abusent de ces instants-là, pour licencier les femmes. Or, la grossesse génère ces moments délicats qui nous mettent en faute et les employeurs devraient être cléments.
Les employeurs ne devraient pas juger leurs employées pendant cette période et devraient se montrer plus compréhensifs.


Mon histoire
C'était en 2016, mon nouveau travail d'assistante maternelle m'épanouissait, et ma période d'essai était validée. Quelques mois plus tard, ce renouveau de désir de grossesse bloqué pendant 3 ans, arriva. Cela faisait 5 mois que je travaillais pour cette maman, avec qui tout ce passait bien.
Sa fille rentrait gaiement à la maison, elle voyait bien qu'elle était, elle aussi, épanouie. Elle m'a dit qu'elle me trouvait bien, moi aussi, dans cette fonction d'assistante maternelle car c'était mon premier contrat. Bref, elle n'avait rien à me reprocher.

C'est en juillet 2016, que j'ai commencé à avoir des nausées et à me sentir mal à cause de la montée d'hormones de grossesse. J'étais vraiment au fond de mon lit et j'ai dû, alors, me mettre en arrêt de travail, car je ne me voyais pas m'occuper d'une petite fille de 9 mois (période sensible qui plus est) en l'état. Je ne trouvais pas cela professionnel, du tout. Et vu que j'avais ma conscience professionnelle, j'avais préféré m'arrêter, pour que cette petite fille soit confiée, pendant ce temps difficile pour moi, à d'autres personnes qui pourrait s'occuper d'elle, pleinement.
Pourquoi ? J'étais au fond de mon lit, dans le noir et je n'avais plus aucun appétit. J'ai perdu 6 kg pendant ce mois de juillet. Je n'arrivais plus à m'occuper de moi, alors à quoi bon s'occuper d'une petite fille de 9 mois ?
A vrai dire, mon arrêt n'a pas duré très longtemps, 1 semaine peut-être ? 
Lorsque cette maman et moi nous nous sommes retrouvées, je l'ai informé de ce pourquoi j'étais malade. Et elle m'a avoué qu'elle s'en doutait, vu les circonstances.
Fin juillet 2016, 3 semaines après mon annonce, les congés d'été arrivent. Nous nous quittions en bon terme, pour reprendre 3 semaines plus tard.
Vacances 2016 : à Bormes les Mimosas, l'ile de Bendor, Valensole... enceinte de mon petit amour. J'étais loin d'imaginer ce qui allait se passer.

Nous avions alors pendant ces vacances-ci, des projets plein la tête, comme acheter une maison en contractant un crédit et préparer, pendant ma grossesse, l'arrivée de notre enfant, en bonne et due forme.
Août 2016, retour à l'appartement. Samedi midi, on sonne. C'était le facteur qui venait m'apporter une lettre en recommandée, de la part de mon employeur. Mes congés étaient terminés et je devais reprendre le travail, le lundi suivant. Ou pas....

Cette lettre fut une lettre de licenciement. Elle, sans rien dire, faisant mine que tout allait bien, elle avait décidé de me licencier, dans mon dos.

NB : Dans mon métier, le dialogue est primordial, la confiance doit être là. Sinon, autant arrêter la collaboration, car le bien être d'un enfant est en jeu et un enfant ressent X mille les tensions des adultes.

Mon combat
J'ai alors écarquillé les yeux en lisant ce courrier. Il m'indiquait que j'étais licencié pour motif : absences répétées m'empêchant de remplir mes fonctions. Une grosse claque.
Enceinte !!! Licenciée !!!
Août 2016 : J'ai alors lancé une procédure d'annulation de licenciement, car un employeur ne peut, en aucun cas, vous licencier, pendant toute la grossesse, à partir du moment où elle a été reconnue biologiquement : certificat à fournir par la gynécologue.
J'ai alors tenté de me battre avec mon syndict qui s'est renseigné auprès de leur avocat. Se battre enceinte (surtout quand le début de grossesse est difficile et que surtout notre famille n'est même pas au courant - à part mon père, ma soeur et mon frère) est vraiment compliqué.

Septembre 2016 : Il était possible alors de me réembaucher avec un avenant au contrat qui s'est transformé en mi-temps.
J'ai alors refusé et c'est ainsi que la procédure s'est terminée par une rupture à l'amiable.

Octobre 2016 : J'ai perdu ce combat professionnellement, mais j'ai gagné en tranquillité, car j'ai pu passer les 3 derniers mois de ma grossesse sereinement. Signature de la rupture. Je tourne la page.

Cela dit, nos projets sont tombés à l'eau, nous étions si tristes.



Nos projets sont tombé à l'eau....enfin c'est ce qu'on croyait. Mais j'ai rebondi, nous avons rebondi, comme je le fais à chaque épreuve de ma vie.


Nous avons tenté le tout pour le tout : acheter une maison au chômage ! Contre toutes attentes, contracter un crédit au chômage, c'est possible. J'ai contracté un crédit avec mon allocation de retour à l'emploi. Mais ça c'est une autre histoire. A suivre...


Avoir un enfant est la plus belle chose au monde, 
les employeurs devraient arrêter de penser à mal dans ce monde. 
Respecter les femmes enceintes 
et respecter le code du travail, est juste normal, non ?


La période du non : ils apprennent à s'affirmer (Questions de parents)

20 juin 2019
- 3 minutes de lecture -


La vie en société, qui oblige à faire des compromis, entraîne inévitablement quelques frustrations. D'où parfois une opposition systématique mêlée d'agressivité. Notre tout petit a besoin de se différencier. Marquer son refus est un moyen de tester sa puissance. Comment l'aider à s'affirmer tout en respectant les autres ? Découvrons ensemble ce que Mpédia.fr nous conseille.

source texte : mpedia.fr - credit photos : Pixabay

Je dis "non" donc je suis

L'enfant a découvert (vers 8 mois en général) qu'il est une personne distincte de vous. Vers 18 mois, il commence à bien intégrer cette différence, et veut la marquer. C'est sa façon de dire : « Je suis moi ! Je ne suis pas toi ! ». Pouvoir dire « Non ! » est une acquisition puis une compétence importante pour lui, puisqu'atteindre cette étape témoigne de sa capacité à construire sa propre identité. En imposant ce mot, il se sent fort et s’affirme « lui ».
Avec ce non, il comprend qu'il affirme sa différence : alors il dit non à tout. Pourquoi est-ce un passage essentiel ? Parce qu'à partir de l'instant où il sait qu'il peut dire non, cela le suivra toute son existence, à chaque fois qu'il tombera sur quelqu'un cherchant à s'imposer à lui.
En disant non, il vous dit : « j'ai le droit de dire non si je n'ai pas envie. Et quand je dirai oui ce ne sera pas par soumission, mais parce que moi, j'aurai le choix de dire oui ou non ». Cette phase d'opposition est particulièrement marquée entre deux ans et demi et trois ans, et de quatre ans à quatre ans et demi (et plus tard, au début de l'adolescence, entre 12 et 14 ans). Elle peut être parfois éprouvante pour les parents !

Respecter le non de son enfant

En tant que parent, il peut nous sembler élémentaire d'obliger notre enfant à obéir. Mais l'empêcher de dire non revient finalement à l'empêcher de s'affirmer et donc de s'émanciper. Si notre enfant nous semble têtu, répétant « non ! » et ne cédant pas, il est simplement en train de chercher à s'affranchir.
La patience est donc de mise : mieux vaut prendre les choses avec philosophie et ne pas s'embourber dans une discussion interminable : « Tu dis non mais moi je dis si ! », ni chercher à piétiner ses tentatives d'opposition.

... Mais poser des limites

Pour autant, l'enfant ne doit pas s'enfermer dans un non systématique. Il a juste besoin de s'assurer que nous entendons son « non ». Mais lui aussi doit entendre le nôtre. Expliquez lui : « j'ai bien entendu ton refus, tu as tout à fait le droit de dire non, mais tu dois accepter que moi aussi je te dise non ».
En poussant notre enfant à réfléchir, nous lui permettons de choisir de dire oui, tout comme il a pu dire non. Notre enfant a besoin de limites, elles le rassurent et sont essentielles pour l'aider à se construire. Ce sont en quelque sorte les « règles du jeu » qui vont lui permettre de bien avancer dans la vie et la société.


Vous vous en sortez chez vous ?

N'hésitez pas à partager ici vos anecdotes.


Lire aussi :


Accepter et se réapproprier son corps, après la grossesse

15 juin 2019
- 6 minutes de lecture -


Après vous avoir dévoilé pourquoi je ne publiai plus de "Looks", dans cet article là, j'ai pu faire un petit travail, sur moi-même, pour tenter de me réapproprier mon corps, apprendre à l'aimer comme il est. A ce jour, je ne l'ai pas encore totalement accepté, mais c'est un bon début.

Le corps post-partum, et le mien, 2 ans après
Après la grossesse, le corps subit d'énormes variations de poids et il met beaucoup de temps à se remettre, en fonction des femmes (car chaque corps est différent).
Pour ma part, mes seins sont devenus vides, tombent et ne tiennent plus dans un soutien gorge, bien que je bannisse ce modèle de lingerie. Mais c'est pour vous expliquer ce qu'ils "donnent".
J'ai maigri et perdu mes formes. Après l'accouchement et mes 2 semaines d'allaitement, ma poitrine n'est plus existante, et je n'ai même pas eu le coeur à mesurer mon nouveau tour de poitrine (si j'ai réussi à le prendre, pour trouver une taille ;-) sur une boutique en ligne spécifique). Nous sommes donc à 83 cm.
J'ai aussi, toujours, ce petit ventre, ce mum bump, pour 83 cm, ce qui correspond à mon début de 4ème mois de grossesse.

Première thérapie avec des petits riens
En premier lieu, le fait de vous avoir publié cet article, m'a beaucoup aidé. Un autre truc tout bête, je me suis acheté ce nouveau haut blanc, en taille XS, qui m'a aidé à me sentir mieux, dans mes vêtements (car un grand nombre de mes vêtements sont trop grands, trop détendus, trop amples).


Deuxième thérapie avec le programme "J'aime mon corps"*
A un moment donné, il faut se donner un coup de pied aux fesses, pour tenter de continuer à vivre sereinement, avec son nouveau corps.
C'est alors que j'ai eu l'opportunité, de tester le programme "J'aime mon corps"*, destiné aux personnes voulant développer leur confiance en soi et se débarrasser de ses complexes, via la plate-forme Hivency. Ce programme a été mis sur pied par Hervé-Charles Léger, spécialisé sur l'acceptation corporelle, l'estime de soi et la confiance. C'est un programme interactif de 100 pages en PDF que nous pouvons consulter sur notre ordinateur, tablette ou portable. C'est comme un cahier de vacances amusant car son interactivité nous envoie vers des tests et des vidéos YouTube.

Qui est Hervé-Charles Léger ?
C'est le créateur du programme "J'aime mon corps" qui travaille dessus, depuis 11 ans.
Il a voulu toucher et aider les personnes qui pensent que le regard des autres, sur eux-mêmes, est difficile à accepter, et les faire alors, travailler sur leur estime de soi, ainsi que sur leur acceptation corporelle.
La réussite de son programme est surtout grâce à son vécu, car Hervé-Charles mesure 1m58. Nous imaginons bien que pour un homme, cela doit être difficile à vivre. C'est pourquoi, nous pouvons avoir, totalement, confiance, en Hervé-Charles.

N'est-ce pas difficile de parler de nos complexes, face à un médecin, un psychologue ?
Hervé-Charles, lui, propose des rendez-vous téléphoniques et des lives en petits groupes (avec des échanges entre participants), depuis notre ordinateur. C'est plus rassurant, pour ma part, que dialoguer en face d'une personne qui n'a pas un vécu en rapport avec le sujet. C'est bien plus enrichissant de travailler, ainsi.

Sa page facebook : ICI.


Le programme "J'aime mon corps"
Le programme est décomposé en 4 couleurs que nous ne sommes pas obligé de suivre dans l'ordre.

Chacune des couleurs correspond à une étape d'apprentissage qui engendre de la réflexion.
La couleur 1 : 
Orange, à la découverte de soi pour mieux mettre en place le changement
La couleur 2 : 
Verte, dépasser le regard des autres et se faire confiance
La couleur 3 : 
Bleue, prendre possession de son image et s'affirmer
La couleur 4 : 
Jaune, notre self-care kit pour nous accompagner et être pleinement soi

Dans chaque couleur, des vidéos Youtube sont créées spécialement, pour le programme qui est composé lui-même de challenges, de tests de personnalité, de jeux, de petits conseils rassurants, de la part de Hervé-Charles.
Hervé-Charles nous accompagne aussi par téléphone dès l'acquisition du programme afin de nous expliquer comment procéder et de savoir ce qui nous a donné envie de se lancer dans son programme.
Il nous épaule avant de nous laisser, en autonomie, avec le programme. Nous pouvons revenir vers lui dès que nous en avons besoin.


Mon ressenti en vivant le programme
La première couleur m'a donné envie de prendre encore plus soin de moi. Je me dis que pour pouvoir prendre soin des autres, il faut d'abord, prendre soin de soi. Se préparer un bon bain, se couler un thé, faire des masques et des gommages, se masser le corps, se reposer, se détendre, lire un livre, etc.

J'ai eu du mal avec la deuxième couleur, car j'ai l'impression qu'elle est destinée aux personnes rondes, car on parle beaucoup des mannequins et que personne ne leur ressemble.
Or, après ma perte de poids conséquente, je me retrouve dans ces corps de mannequins, dans leur maigreur. Et c'est la que je me suis dit "mais, en faite, j'ai la taille mannequin !" avec mes épaules rachitiques, mes fesses plates et ma petite poitrine tombante. En ce qui concerne mon "mum bump", c'est autre chose vu que les mannequins n'ont pas encore eu d'enfant. Je me suis alors dit, que toutes les mamans ont toutes un "mum bump" et que c'est comme ça, qu'on n'y peut rien, que c'est le métabolisme qui veut ça.
Aussi, on parle beaucoup du regard des autres, mais je n'ai pas de problème avec cela. Mon problème est simplement le regard avec moi-même.


Avec la troisième couleur, nous travaillons sur la possession de son image et sur ce que les autres, comme les médias, veulent que nous soyons. On parle de photoshop et des mannequins qui n'existent pas ou bien transformés. Finalement, on s'aperçoit que les mannequins présentés en photos, dans la presse, ont de faux corps.
On parle aussi beaucoup de succès et de bonheur que nous devons définir.




La dernière couleur nous permet de réaliser notre self-kit care pour apprendre à changer de regard sur soi, identifier les pensées négatives pour les transformer en pensées positives que cela soit personnel comme professionnel.


On nous délivre aussi une méthode pour maîtriser nos pensées négatives.
J'ai vraiment apprécié cette partie.




A noter
Chacun vient avec un passé et un vécu différent. Tous les exercices ne correspondent pas à tout le monde. Mais à un certain moment de notre vie, nous allons pouvoir reprendre le PDF et se replonger dedans, pour redécouvrir les exercices. Nous pourrons remarquer que ceux qui ne nous avaient pas correspondu avant, peuvent nous correspondent à ce jour, et cela, tout au long de notre vie, à chaque changement de notre corps.

Pour conclure, nous n'utilisons pas la totalité du workbook tout de suite, mais plus tard, tout au long de notre vie, et ça c'est vraiment une belle idée ! Merci Hervé-Charles.

Le point négatif du PDF (rien à voir avec le programme proprement dit) :
Quand on clique sur un questionnaire et que l'on veut retourner en arrière, cela nous renvoi à la première page du PDF et non à la page du challenge pour continuer. Du coup, il faut défiler toutes les pages, jusqu'à retrouver, là, où nous en étions. Pour ma part ce fut assez embêtant car il y a 100 pages. Mais Hervé-Charles m'a expliqué que c'était dû à un soucis technique en backoffice. 


Mon regard sur mon corps
- Revoir sa garde robe (modèles, coupe des vêtements),
- Prendre des vêtements à sa taille, pour se mettre en valeur,
- Accepter sa nouvelle taille, pour ma part, le XS et le 36 avec l'astuce : essayer des vêtements neufs.
- Prendre du temps pour soi et soin de soi.

Coût et autres services du programme "J'aime mon corps"
Le programme "J'aime mon corps" coûte dans sa version complète et pour 1 an : 59 €.
Vous pouvez tester la première partie pour 9 €, qui sera déductible du prix, si vous décidez, ensuite, d'opter pour le programme complet.

Attention, Hervé-Charles Léger a changé de plateforme et son nouveau site s'appelle Body and Mind que vous pouvez retrouver via ce lien : ICI.


Un grand merci à Hivency et Hervé-Charles de m'avoir permise cette superbe expérience.

Et un dernier mot : Enjoy !

Avez-vous, aussi, envie de tenter l'expérience, pour vous
sentir mieux, avec vos complexes ? 

Lire aussi :

Daniel Wellington : mon 2ème avis, ferme et définitif

9 juin 2019
- 6 minutes de lecture -


4 ans après avoir reçu ma première montre de la célèbre marque, Daniel Wellington, je reviens vers vous pour une petite update. Top ou flop, vous allez découvrir mon nouveau point de vue.

Les copies des montres Daniel Wellington
Il y a eu beaucoup de marques qui se sont lancés en reproduisant le design épuré de cette montre, en moins cher. Mais lorsque l'on se penche sur la marque en elle-même, Daniel Wellington et son histoire m'ont touché plus que les autres, je n'ai pas été tentée d'une infidélité mais j'avoue que ma soeur a souhaité une montre Cluse. Nous pouvons aussi trouver des répliques sur des sites peu cher chinois à quelques euros à peine la pièce mais que valent-elle ? Seul le temps nous en apportera la preuve mais personnellement je n'ai pas envie de tenter ma chance ailleurs que sur Daniel Wellington. C'est une façon aussi de soutenir la marque.

Feed back sur Daniel Wellington
Uppsala, Suède : 
La marque Daniel Wellington est née dans la ville d'Uppsala, située à une heure de route au nord de Stockholm, la capitale suédoise.
Uppsala abrite la plus ancienne université de toute la Scandinavie. Fondée en 1477, elle est aujourd'hui considérée comme l'une des meilleures universités au monde et fait partie du groupe Coimbra qui compte également parmi ses membres les universités d'Oxford, de Cambridge et de Bristol.
Influencé par le style preppy de l'homme auquel il dédia sa marque, Filip Tysander a fondé la société Daniel Wellington pendant ses années universitaires à Uppsala. Trois ans plus tard, le siège de la marque se situe à quelques pas seulement des bâtiments de la célèbre université.


Qui est Daniel Wellington ?
L'histoire de Daniel Wellington a commencé lors d'un voyage autour du monde pendant lequel Filip Tysander, le fondateur de Daniel Wellington, rencontra un gentleman intrigant originaire des îles britanniques.
L'homme disposait de cette incroyable capacité de combiner avec élégance et désinvolture sans aucune prétention. Son style était impeccable et il aimait porter ses montres avec un vieux bracelet NATO. 
Son nom ? Daniel Wellington, bien entendu.
De cette rencontre naquit une grande amitié entre les deux hommes, et notre fondateur ne s'est pas seulement inspiré de son élégance intemporelle mais également des incroyables histoires de son passé.

Au moment de lancer sa première collection de montres, Filip Tysander savait depuis longtemps comment il appellerait sa marque : elle porterait le nom de son ami Daniel Wellington.


La panne de ma montre Daniel Wellington
Toujours fidèle à leurs produits car une qualité certaine est bien là malgré sa panne, je vous dis tout. Au bout de 4 ans, ma montre ne fonctionnait plus et j'ai eu vraiment peur que ce soit le mécanisme (vu que j'ai un fluide destructeur de mécanisme de montre : c'est une vieille histoire qui date depuis mon adolescence).
Ma montre m'a été offerte par mon père à Noël 2015, achetée sur le site DanielWellington.fr. Je me suis alors tournée vers leur service après vente pour leur parler de ma panne. Ils m'ont rapidement répondu alors que je pouvais aller faire tester la pile dans un premier temps, dans une boutique revendeuse officielle, de mon secteur. J'y suis allée et le verdict est tombé.

La pile de la montre Daniel Wellington
Lorsque je suis allée faire tester la pile, la bijoutière m'affirme que c'est bien la pile qui est à plat. J'ai alors voulu connaître la marque de la pile que DW mettait dans ses montres, en 2015, et peut-être même encore maintenant, qui sait, vous le saurez dans 4 ans ;-)
Daniel Wellington a choisi en 2015 de fournir ses montres avec une pile de la marque Sony. 4 ans pour une pile de montre, je trouve cela vraiment très bien. De plus sur le site DW, il est indiqué que la duré de la pile varie entre 2 à 4 ans en fonction de la température extérieure, de l'humidité, de la pression de l'air.
C'est pour moi alors un soulagement de savoir que ce n'était que la pile qui était en fin de vie et non l'horlogerie défaillante.


L'horlogerie
Au bout de 4 ans, je dirai que le mécanisme choisi par DW est remarquable de précision. Il fonctionne toujours.

Le bracelet en cuir
Le bracelet en cuir a vraiment très bien vieilli et il est toujours en état très correct pour un usage au quotidien. J'en suis ravie.


Le bracelet en tissus
Il est toujours en bon état lui aussi et les trous sont résistants. Le tissus blanc se salit, tout de même, rapidement que j'ai du mal à nettoyer. Je frotte, le tissus ne s'abîme pas mais la saleté est tenace. Vous pouvez voir sur les photos des auréoles légèrement jaunes.

Mon 2ème avis sur Daniel Wellington
Je valide cette marque à 100% car elle est juste parfaite.


Lire aussi :

Mon avis sur notre 2ème dégustation chez Vapiano

2 juin 2019
- 3 minutes de lecture -


Nous vous avions donné (mon mari et moi-même), dans cet article-ci, notre avis sur un extrait de la nouvelle carte limitée de chez Vapiano. Nous revoici invités chez eux et toujours à Metz pour découvrir leur nouvelle carte. Nous allons vous faire découvrir notre choix au menu et nos impressions sur les recettes. Nous avons, tous les deux, gouté à chaque plat, afin de vous faire part de 2 avis sur les produits. Nous avons eu le plaisir de déguster un plat et un dessert chacun.


Au menu

Plats au choix
Pollo Alla Rossa Fusilli : 
pâtes fusilli, poulet, oignons, courgettes, poivrons, piments, sauce tomate, tomates cerise et cébettes
ou 
Diavolo Penne : 
pâtes pepperoni, oignons, piments, poivrons, tomates cerise et sauce tomate maison
ou 
Pizza 4 fromages :
gorgonzola, fromage italien, burrata, chèvre, saupoudrées de noisettes torréfiées
ou
Pizza Pesto et Salmone :
saumon, fondue de poireaux, citron, tomates cerise, sauce pesto maison, mozzarella
ou
Pizza Montagna* :
pommes de terre, lardons, oeufs, crème, mozzarella
ou
Pizza Cannibale*
pepperoni, viande hachée, scamorza, poivrons, oignons, tomates séchées, sauce barbecue, mozarella

Desserts au choix :
Cheese cake*
Crema Di Mela
Crema Di Amarena

Boisson :
Verre de vin - l'abus d'alcool est dangereux pour la santé (15 cl)
ou
une boisson soft au choix*


Nous avons, cette fois-ci, tous les deux choisi une pizza. C'est avec ce petit boitier que nous attendons, patiemment à table, qu'il sonne pour nous prévenir que nos pizzas sont prêtes à récupérer, au comptoir. 
Je trouve ce concept vraiment sympa, car cela nous évite d'attendre parmi la foule. En effet, les files d'attente aux autres types de plats, sont vraiment bondées, en heure de pointe.

Plat 1 : Pizza Cannibale


Cette pizza était assez bien garnie avec des ingrédients de qualité mais la base sauce barbecue était un peu déroutante.

Plat 2 : Pizza Montagna



Cette pizza m'a vraiment conquise. La garniture se marie parfaitement avec la pizza à base de crème. Moi qui ne suis pas une grosse mangeuse, j'ai quasiment terminé la pizza, tellement délicieuse était-elle !
Concernant l'avis de mon mari, il aurait préféré que les lardons soient plus cuits.

Dessert : 2 Cheese cake pour nous


Nous avions été contraints de choisir le même dessert car lorsque nous sommes allés les choisir, le reste avait été vendu. Il y a un certain stock au stand des desserts, qui malheureusement s'est écoulé rapidement, pendant que nous dégustions nos pizzas. Plus de Crema di amarena, ni de Crema di mela, le dessert qui m'avait fait de l'oeil. Dommage.
Cela dit, le cheese cake était vraiment délicieux, avec sa dernière couche de spéculos, un délice.


Vous connaissez les restaurants Vapiano ?
Si oui, avez-vous déjà dégusté les plats que nous avons choisi ?

SURPRISE :
Concours sur Instagram, pour tenter de remporter un repas pour 2 soit 2 plats + 2 desserts, valable dans tous les restaurants Vapiano de France et Luxembourg.

Conditions : être abonnés à leur page Instagram ainsi qu'à la mienne et de laisser un commentaire sous le post qui annonce la parution de l'article.
Bonne chance à tous !

Ouvert à tous les comptes Instagram publics, jusque dimanche 09 juin à 14h.
Le résultat sera annoncé le jour même sous la photo du concours sur Instagram.

tombe la neige

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